Athènes, Lofos trefi Park,
A quelques centaines de mètres de la Place Exarchia, le centre politique populaire d’Athènes.
Polyamours dans un parc public, sous les stigmates des luttes de classe et du combat anticapitaliste
the artist at work for Ecotopia project, Photography,
Self-portrait, Gars, Estéron, 2019.
Wei Ji, 64 ème du Yi king symbole du désordre, le Feu sur l’eau, s’hybride avec le bras tendu tenant la flamme de la liberté
Athènes, Lofos trefi Park,
A quelques centaines de mètres de la Place Exarchia, le centre politique populaire d’Athènes.
Polyamours dans un parc public, sous les stigmates des luttes de classe et du combat anticapitaliste
Deux photographies extraites de l’exposition ici la terre entière, leur histoire vous est raconté ici
En finissant de peaufiner leur technologie poétique, ils détiennent ensemble le secret de l’envol de la terre, et deux trois autres aussi qu’ils ont mis au point sur une plage naturiste, la même où il a vu s’envoler la terre. Il paraît que sur leur dernière photo, la poésie est partie en vacances. Et bien ils travaillent sur une sorte de particule de gravité poétique pour la faire revenir.
Forme de la paix est un travail performatif et photographique réalisé durant mon voyage en Asie (Inde, Nepal, Thailand, Laos, Cambodge… ), qui recherche un accords de paix, entre nature et corps.
Un saut dans le vide dans le plus simple appareil tendant un bouquet de fleur à la mer.
Tentant, l’espace d’un instant, de suspendre au le ciel un bouquet de fleurs, laissant aussitôt la gravité reprendre le dessus, mais avec la conviction que, quelque part, le bouquet est toujours dans le ciel, avec des fleurs plus vivantes que jamais.
Des fleurs qui poussent du corps. Comme une émotion indicible par les mots qui viennent traverser la peau. Recomposant le visage lui donnant la teinte d’un expression floral.